"Mon fils, viens à moi car l'ennemi désire que tu vives avec des regrets du passé, que tu regardes en arrière sur ce que tu as perdu. Mais tout cela était pour mon bien et, si tu le choisis, je t'aiderai à reconstruire les espoirs et les rêves de ton cœur et de ton travail dans ma mission et mon appel pour ton cœur et tout ce que tu désires accomplir. Car je fais une chose nouvelle d'une manière nouvelle.

L'ennemi veut vous faire croire que vous n'avez que peu de temps, mais vous ne connaissez pas votre temps ou votre jour. Alors je vous appellerai pour être avec moi et ce n'est pas encore votre heure. Alors, marchez hardiment et priez pour avoir la force et le courage du cœur de mon Père qui vous aime".

Seigneur, plus je suis à la maison, plus j'ai l'impression de ne faire que passer le temps.

"Non, mon enfant, il est bon que tu sois ici. Ils ont tant besoin de toi. Va aujourd'hui au marché et prévois un dîner joyeux avec eux pour partager le temps en famille, dans l'amour. D'après les fruits de ton travail au cours des années, tu vois ce que l'ennemi veut que tu voies dans un délai particulier, mais tu ne peux pas imposer à ma sainte volonté un délai ou un résultat dans ta chair."

Oui, mon Seigneur, maintenant je parle vraiment à ton cœur. J'ai été préoccupé par l'avenir à certains moments".

"C'est le mensonge de l'ennemi, mon fils. Il veut que tu sois préoccupé par l'avenir pour que tu n'acceptes pas ma volonté aujourd'hui."

J'accepte ta volonté d'être ici, mon Seigneur. Je prie pour la paix et la joie de le faire, pour me réjouir chaque jour de la gloire qu'est ton amour. Et en faisant le bien, je serai conduit dans le bien.

Oui, je vais aller au marché et acheter ce qu'il faut pour un merveilleux repas béni avec la famille. Vous savez, mon Seigneur, cela me donne une grande joie, car nous étions toujours ensemble dans notre enfance. Je veux donner ce bel exemple à mes neveux et nièces. Lanson, qui a maintenant presque quatre ans, a dit l'autre jour à sa mère, ma nièce : "Maman, ça me fait plaisir que nous soyons tous ensemble".

Si un enfant comprend cela, pourquoi, en tant qu'adultes, n'avons-nous pas grandi dans la sagesse et le sens de la grâce pour comprendre la puissance et l'importance de la famille unie ? Je ne savais pas que je parlerais de ces choses avec toi, mon Seigneur, du fond de mon cœur ce soir. Mais je ne veux pas me sentir stagnant ou complaisant ici, et je ne veux pas bouger si ce n'est pas ta volonté.

"Mon fils, tout est pour la gloire de ma volonté. Je désire aussi que tu appelles Matilde et qu'elle t'invite à venir parler.

Le passé est maintenant le passé, mon fils, ils t'ont toujours aimé et la personne qui a blessé ton cœur dans les premiers jours où je t'ai envoyé parler, elle était aveugle, mon fils, mais elle n'a jamais voulu te faire du mal. Comme la religieuse qui t'a contacté cette semaine et qui désire parler avec toi. Je sais que tu as l'impression qu'elle a été quelque peu obsessionnelle en te contactant. Réjouis-toi de pouvoir l'aider par mon intermédiaire".

Oui, mon Seigneur. Elle ne cessait de m'appeler pour me donner le temps de prier et de discerner. Mais tu as dit un jour que chaque âme est importante et que le moins que nous fassions pour nos frères, nous le faisons pour toi. Je vais donc offrir mon cœur à cette âme, car tu sais que je lui ai déjà écrit. C'était un rappel de la façon dont certaines personnes réagissent aux messages et aux visions de toi et de ta mère que j'ai reçus.

"Mon fils, l'ennemi veut que tu ressentes cette peur et cette appréhension afin que tu n'ailles pas ou que tu n'offres pas ton cœur à ces âmes particulières. Ce sera tout le contraire, comme tu le sais, car comme je l'ai promis en partant, l'amour attendra toujours.

Tu ne peux pas nier qui je t'ai appelé à être. Si vous voulez accepter ma volonté, vous ne pouvez pas nier ce don que je vous ai fait pour les autres, si vous choisissez de les aimer".

Et c'est le cas, mon Seigneur.

"Et tu ne peux pas continuer à vouloir croire, d'une certaine manière, que ta vie est normale, car ce n'est pas mon fils. Et cela ne fera que diminuer le don que je t'ai fait et la lumière qui est en toi. L'ange Gabriel t'a dit, il y a maintenant vingt ans, que ta vie ne serait jamais normale. Car tu es appelé par moi, et avec force, à ne pas être de ce monde, mais à être pour moi. Comprends-tu, mon fils ?"

Oui, mon Seigneur, je comprends, je me souviens de ce qu'a dit le bienheureux Carlo : "Pourquoi voudrais-je être une photocopie de quelqu'un d'autre", de quelqu'un que je ne suis pas.

"Mon fils, tu t'es protégé. Ne le fais plus car je suis ton protecteur et va dans la joie et l'amour comme tu l'as toujours fait dans les premières années de mon appel et comme tu continues à le faire maintenant. Une fois que tu es avec les gens, tu n'as pas besoin de te cacher car, comme tu en as été témoin, l'amour et les miracles, c'est que les gens sont dans le besoin.

Et oui, c'est un sacrifice, mon fils, c'est un sacrifice de quitter le confort de ta maison et de ta famille, mais ils seront là quand tu reviendras. Je ne t'ai pas demandé de quitter ton travail, car j'ai aussi travaillé et c'était une préparation. C'était aussi une préparation pour être avec ma famille, la Sainte Famille, ma mère et mon père. C'était une préparation à ma future mission. Tout a un but dans ma bonté, mon fils".

Oui, mon Seigneur, je comprends, je sais et je me réjouis des paroles que tu me dis parce qu'elles me remplissent de ton Esprit et de ta joie.

"Va où tu veux, je te conduirai selon ma volonté. Et là où tu seras, comme tu le sais, tu porteras du fruit tant que toi et moi serons unis."

Je t'aime, mon Seigneur, et je te remercie de la joie qu'est ta miséricorde en moi pour nettoyer et purifier mon âme, afin que je puisse voir comme tu vois et entendre ce que tu veux dire.